Pour l'animation musicale du blog...
CLIQUEZ sur Radio Himalaya2 (colonne de gauche)...
Pour agrandir une photo ou un document...CLIQUEZ DESSUS...
L'ECOLE d'INGENIEURS en ENERGIES RENOUVELABLES Sup' Enr de PERPIGNAN en visite du four solaire de Soréde
le lundi 23 avril 2018.
Les étudiants étaient accompagnés par Najim SADIKI enseignant, la visite a été assurée par Jean Jacques SERRA, ancien directeur du four solaire militaire d'Odeillo et membre de la commission scientifique des "Amis du Padre Himalaya".
Ci dessous...Quelques images de la visite trés appréciée par les étudiants...
La visite du FS du 23 avril
Explication du fonctionnement du four solare "Himalaya 1900"...
Une partie des étudiants à l'écoute des explications de Jean Jacques...
Autour du cuiseur solaire "SCHEFFLER" en démonstration sur le site...
Interview de Régis Olivès, directeur de Sup'Enr
dans l'Indépendant du vendredi 27 avril 2018
Perpignan - L'école d'ingénieur en énergies renouvelables plébiscitée sur ParcourSup
Sup'Enr, l'école d'ingénieur en énergies renouvelables de Perpignan, a reçu 4.135 demandes de voeux sur la plateforme ParcourSup pour l'une de ses... 24 places. Régis Olives, son directeur, explique le succès de cette filière d'excellence.
Etes-vous surpris par le succès de votre filière ?
Certes notre cursus est relativement récent mais ce n'est pas une surprise. Notre formation est en partenariat avec le groupe Insa (formation d'ingénieurs) et notre école d'ingénieur est la seule en France dédiée à toutes les énergies renouvelables. Certaines font de l'hydraulique, d'autres du solaire, de l'éolien, de la géothermie... alors que nous faisons toutes ces énergies renouvelables. Cela explique en partie la forte demande sur notre école.
Depuis quand la Sup'Enr est-elle en service ?
En 2009, nous avions une formation en partenariat avec l'Epitech de Montpellier avec lequel nous avions créé un département délocalisé. Mais il y a eu des désaccords et nous étions légitimes, à Perpignan, à avoir une formation sur les énergies renouvelables. Le président de l'Université s'est beaucoup investi pour mettre sur pied cette formation que l'on a pu lancer en partenariat avec le groupe Insa. Nous étions jusqu'ici ouvert aux Bac+2. Depuis la rentrée de septembre 2017, nous avons ouvert le cursus dès l'après-Bac.
Quand on reçoit près de 4200 demandes pour 24 places, comment fait-on la sélection ?
Pour l'année écoulée, la moitié des élèves retenus avaient eu une mention Très Bien au Bac et un tiers la mention Bien. Ensuite, nous avons fait un barème lié aux notes, à l'environnement scolaire, au dossier et à la lettre de motivation. Les étudiants viennent de partout même de l'étranger. 20% des candidatures environ proviennent de la région Occitanie.
Devant cette demande forte, est-ce que vous comptez développer la formation et, du coup, augmenter le nombre de places ?
Il y a une montée en puissance, c'est évident mais on restera dans des petits volumes de recrutement avec un maximum de 35 à 40 places chaque année. Il faut qu'on puisse assurer de bonnes conditions de formation aux étudiants. Ça passe aussi par un suivi précis avec des mises en stage, des placements dans des universités à l'étranger et une bonne intégration professionnelle. On est très attachés à la qualité de l'enseignement de ce cursus qui démarre par deux ans au Groupe Insa à Toulouse et se termine par trois années à Perpignan.